Automobiliste vache à lait ! Etat escroc !
Une nouvelle injustice racontée par un adhérent :
« Pierre » est médecin, il se gare, un beau matin, rue Sedaine à Paris XI pour rendre visite à son employeur « Médecins sans Frontières ».
Il ne sait pas combien de temps va durer son entretien, il vient très tôt et pense ne rester qu’un bref instant, il se gare sur une place libre, payante, mais à l’heure à laquelle il se gare ce n’est pas encore payant.
Le temps s’écoule, la journée passe, « Pierre » est resté en réunion toute la journée. Chance, rien sur son pare-brise. Il n’en revient pas, il se dit que c’est son jour de veine et que s’il n’était pas aussi fatigué il irait bien jouer au loto. Il sait qu’il aurait pu avoir un PV, peut-être même deux (un le matin, un l’après-midi).
L’histoire aurait pu se terminer là, une « happy end », un sourire après une journée de travail accomplie.
Un mois s’écoule.
Soudain, réception d’une contravention, 17 €uros, vérification de la date avec son agenda.
« Damned » ! C’était le fameux jour de « MSF » !
Le jour suivant, une seconde contravention ! Toujours pour le même jour, même endroit même montant, 17 €uros !
Le jour d’après, deux nouvelles contraventions, cette fois à 35 €uros pièces pour le même jour, mais cette fois avec une localisation légèrement différente, un numéro d’écart, stationnement sur un emplacement réservé aux livraisons !
Drôle de pays où les voitures se déplacent toutes seules pour mieux prêter le flanc aux PV.
« Pierre », bon citoyen et pas encore membre de la C.N.A. paye ses contraventions :
Deux à 17 €uros et deux à 35 €uros.
Du moins, c’est ce qu’il croit avoir fait, en fait, il a oublié d’en régler une.
Trois mois plus tard, arrive un courrier de relance.
« Pierre » est surpris, énervé, il vérifie ses comptes !
Effectivement, il n’en a payé que trois sur quatre.
Trouvant la peine un peu dure il se décide à envoyer une lettre de réclamation à « Monsieur l’Officier du Ministère Public près du Tribunal de Police ».
Dans cette lettre il expose son cas, son ras-le-bol de ce racket et demande au gentil fonctionnaire de bien vouloir annuler l’amende injustement réclamée, trois étant, d’après lui, amplement suffisant pour expier sa faute.
La réponse ne lui parviendra jamais, c’est un huissier qui lui adressera deux mois plus tard une ordonnance avec saisie pour la modique somme de 89 €uros.
« Pierre » a payé.
« Pierre » vient d’adhérer à la C.N.A. et nous a demandé comment commencer le combat contre cet état qui ne vit que de rackets.
« Pierre » est médecin, il se gare, un beau matin, rue Sedaine à Paris XI pour rendre visite à son employeur « Médecins sans Frontières ».
Il ne sait pas combien de temps va durer son entretien, il vient très tôt et pense ne rester qu’un bref instant, il se gare sur une place libre, payante, mais à l’heure à laquelle il se gare ce n’est pas encore payant.
Le temps s’écoule, la journée passe, « Pierre » est resté en réunion toute la journée. Chance, rien sur son pare-brise. Il n’en revient pas, il se dit que c’est son jour de veine et que s’il n’était pas aussi fatigué il irait bien jouer au loto. Il sait qu’il aurait pu avoir un PV, peut-être même deux (un le matin, un l’après-midi).
L’histoire aurait pu se terminer là, une « happy end », un sourire après une journée de travail accomplie.
Un mois s’écoule.
Soudain, réception d’une contravention, 17 €uros, vérification de la date avec son agenda.
« Damned » ! C’était le fameux jour de « MSF » !
Le jour suivant, une seconde contravention ! Toujours pour le même jour, même endroit même montant, 17 €uros !
Le jour d’après, deux nouvelles contraventions, cette fois à 35 €uros pièces pour le même jour, mais cette fois avec une localisation légèrement différente, un numéro d’écart, stationnement sur un emplacement réservé aux livraisons !
Drôle de pays où les voitures se déplacent toutes seules pour mieux prêter le flanc aux PV.
« Pierre », bon citoyen et pas encore membre de la C.N.A. paye ses contraventions :
Deux à 17 €uros et deux à 35 €uros.
Du moins, c’est ce qu’il croit avoir fait, en fait, il a oublié d’en régler une.
Trois mois plus tard, arrive un courrier de relance.
« Pierre » est surpris, énervé, il vérifie ses comptes !
Effectivement, il n’en a payé que trois sur quatre.
Trouvant la peine un peu dure il se décide à envoyer une lettre de réclamation à « Monsieur l’Officier du Ministère Public près du Tribunal de Police ».
Dans cette lettre il expose son cas, son ras-le-bol de ce racket et demande au gentil fonctionnaire de bien vouloir annuler l’amende injustement réclamée, trois étant, d’après lui, amplement suffisant pour expier sa faute.
La réponse ne lui parviendra jamais, c’est un huissier qui lui adressera deux mois plus tard une ordonnance avec saisie pour la modique somme de 89 €uros.
« Pierre » a payé.
« Pierre » vient d’adhérer à la C.N.A. et nous a demandé comment commencer le combat contre cet état qui ne vit que de rackets.
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